Lapalissois célèbres et remarquables
Dans cette belle ville des bords de Besbre, qu’ils soient manants, bourgeois ou nobles, royalistes ou républicains, religieux ou laïcs, toutes ces figures lapalissoises, de naissance ou
de passage, se sont illustrées à des titres divers. Cette cité ne se résume pas à son château, ses vérités ou aux embouteillages des premiers
congés payés, car au long des siècles, sur ce territoire Bourbonnais, la petite et la grande
histoire n’ont cessé de se télescoper.
C’est grâce à un vrai Lapalissois, féru d’histoire, Maurice Sarazin, qu’au fil des pages, toutes ses figures du passé, célèbres ou jusqu’alors anonymes, réapparaissent et prennent vie, tout en nous dévoilant l’évolution de la ville.
270 pages
Prix : 20€ (+ 10€ de forfait port & emballage)
Découvrir Lapalisse, c’est venir dans une ville connue pour son château Médiéval et
Renaissance, son parc et sa rivière, la Besbre, tantôt paisible tantôt impétueuse. Mais, derrière ce
patrimoine, c’est l’âme de ses habitants passés et présents qu’il faut découvrir.
C’est ainsi qu’il y eut Jacques, le premier de la lignée de Chabannes, seigneurs de la Palice, et
Jacques II, le grand homme de guerre sous les rois Charles VII, Louis XII et François 1er,, devenu
maréchal de France, et connu du grand public surtout par une chanson composée sur lui après sa
mort à la bataille de Pavie.
Les vingt-sept maires (et cinq à titre provisoire) qui administrèrent la ville aux XIXe et XXe
siècles la transformèrent et l’embellirent.
De nombreux Lapalissois, par naissance ou résidence, s’illustrèrent de diverses façons. Leurs
biographies sont complétées par celles de membres de la Légion d’honneur, et le rappel des
noms des curés, des sous-préfets, des morts pour la France dans la Grande Guerre.
Ces hommes et ces femmes qui ont contribué à écrire l’histoire de ce territoire bourbonnais
depuis le VIe siècle, vous les retrouverez grâce à un riche index en fin de livre.
Bonne lecture dans l’histoire de Lapalisse.
L’auteur né à Lapalisse en 1929, a fait carrière dans les bibliothèques de
l’État : bibliothécaire-adjoint à la Bibliothèque nationale d’Alger (1957-1962), puis
à la Bibliothèque du Collège Universitaire de Chambéry (1962-1963),
bibliothécaire à la Bibliothèque Universitaire de Besançon (1963-1967), puis
conservateur à la Bibliothèque de santé de Clermont-Ferrand jusqu’à son
admission à la retraite en 1989. Depuis, il s’est consacré principalement à la
rédaction de plusieurs livres, dont un Dictionnaire de biographie bourbonnaise
(Édition des Cahiers du bourbonnais, 3 volumes) et de près de 500 articles dans
les revues locales sur des thèmes concernant le département de l’Allier.
Le Bassin houiller de Doyet et des Ferrières de Néris
88 pages
Prix : 20€ (+ 6.2€ de forfait port & emballage)
Dès le début du XIXe siècle avec les attributions de concessions minières, l’extraction du charbon devient l’élément
moteur de la révolution industrielle. Elle est directement liée à l’essor de la métallurgie, le développement du train et à la construction des voies ferrées. Désormais, la grande majorité de la main-d’œuvre de la région montluçonnaise va se diriger vers les emplois proposés par ces nouvelles industries.
Claude Bonnejean, né en 1835, sera mineur comme son père. Ses différents postes le mèneront de Doyet à la Souche, de
Bézenet à l’Ouche de Bézenet, des Ferrières de Néris aux Biolles, du Marais à Chamblet et il finira sa vie aux Chantardes.
Confronté à de dures conditions de travail marquées par de nombreux mouvements sociaux brutalement réprimés,
Claude sera tour à tour ouvrier mineur, machiniste, maréchal-ferrant puis forgeron et enfin lampiste.
Ce livre est un hommage, à travers mon ancêtre Claude, à tous les mineurs de l’Allier qui ont contribué à la croissance
et à l’enrichissement du département. Un hommage aussi au vicomte Henri de Courtais, une personnalité doyétoise atta-
chante et dynamique liée au destin de sa commune, de son département et de son pays.